La transmission d’un patrimoine immobilier est sujette à une certaine complexité. Entre les différents conflits qui peuvent survenir entre les héritiers et les droits qui atteignent souvent des prix exorbitants, il y a de quoi se casser la tête. Mais c’est là que les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) s’érigent justement en solution à ces problèmes. Grâce à ce placement, il sera plus facile d’envisager un partage de patrimoine plus équitable et surtout plus économique. En effet, comme il n’est pas question d’un bien unique réel, mais de parts, la transmission entre différentes personnes est plus simple à réaliser. Des abattements sur les droits de succession et de donation sont aussi disponibles pour les héritiers.
Bien que les SCPI n’offrent pas la possibilité de posséder réellement un patrimoine habitable ou palpable, cela se compense largement par leurs atouts. Outre le fait d’être une solution au problème de l’indivision, c’est aussi un placement comportant moins de risques avec des rendements plutôt raisonnables.
Dans le cadre d’une SCPI, il est possible d’user des deux modes de démembrement : temporaire ou viager. Concernant le dernier cité, le contrat de démembrement s’achève dès que l’usufruit meurt. C’est pour cela que les parents conservent ce droit et préfèrent faire de leurs héritiers des nus-propriétaires. Ces derniers recevront la pleine propriété au moment du décès des transmetteurs. L’avantage d’user de ce montage patrimonial : aucun droit à payer par les héritiers. Plus d’infos là-dessus sur https://net-demembrement.com/ !
Il est évident alors que transmettre des parts de SCPI semble plus adéquat par rapport à un réel bien immobilier. Cela favorise l’équitabilité et en plus ça coûtera moins cher en termes de droits. De plus, il est possible de faire encore plus d’économies grâce au principe de démembrement.